Aujourd’hui, j’ai fondé mon école de formation en cake design et j’aide des dizaines de cake designers à lancer leur carrière. Mais ça n’a pas toujours été le cas…
Comme la plupart d’entre nous, j’ai découvert le cake design en essayant de faire briller les yeux de mes petits garçons. À l’époque, j’avais décidé d’interrompre ma carrière au sein de l’une des plus grandes entreprises multinationales pour m’occuper d’eux.
Toute occasion était bonne pour faire des jolis gâteaux décorés. Quel plaisir de voir la joie de ceux qu’on aime à l’arrivée de leur gâteau !
Et puis, on commence à être encouragé à en faire pour un cercle toujours plus grand, jusqu’à se retrouver un jour à les vendre.
Tout s’est ensuite enchaîné très vite : formations, CAP, et puis la signature de mon premier contrat de bail pour un petit atelier. Ça y est, j’étais officiellement lancée !
Au début, je ne pensais qu’au plaisir de préparer de bons gâteaux et de les décorer. Leur vente me permettait de payer le loyer, les ingrédients et les factures de fonctionnement.
Tout allait bien, mais j’en voulais plus encore maintenant que les petits allaient à l’école. J’ai donc quitté mon atelier fermé pour un petit magasin avec une vitrine cette fois-ci , pour attirer plus de clients.
Le loyer avait doublé, et je savais que je devais augmenter mes prix pour le payer. J’avais donc aménagé une partie réception de manière chic qui donnait déjà le La.
Le nombre de mes clients grandissait, de même que mon chiffre d’affaires. Par contre, mes weekends avaient fondu! et les moments passés en famille avec.
Je ne pouvais plus dire non et je prenais toutes les commandes qu’on voulait bien me passer. C’est qu’à la maison, mon mari supportait les frais de la famille jusque-là, jusqu’au jour où il a perdu son travail…
J’avais donc deux options : soit je continuais à faire de plus en plus de gâteaux, à littéralement passer mes nuits dessus au risque de m’écrouler d’épuisement, ou bien je revoyais complètement ma manière de travailler pour m’en sortir, à la fois pour ma propre santé et pour l’intérêt de ma famille.
J’ai alors remis la casquette de manager que j’avais déposée quelques années plus tôt, pour remettre de l’ordre dans mon business. Parce que oui, c’était désormais un business, plus juste une simple passion ou un loisir, mais un véritable business à faire tourner pour pouvoir en vivre !
Comment vendre mes gâteaux à leur juste valeur pour pouvoir en vivre ?
Beaucoup de choses étaient à revoir, parce que faire de magnifiques gâteaux ne suffit pas !
Mes prix, mon image, ma stratégie toute entière !
Je prenais tellement de plaisir à faire des gâteaux tout ce temps que j’en avais oublié le plus important : faire que ça puisse durer.
J’ai donc complètement revu ma stratégie, ce qui m’a permis de changer radicalement mon business pour le mieux. Retravaillé chaque point – des coûts, en passant par le site web et les modèles en vitrine – fait des formations et coachings avec des spécialistes internationaux dans le domaine.
Ça m’a coûté du temps et les économies qu'il me restait, mais ça en a clairement valu la peine.
Depuis, non seulement j’ai redressé la situation et commencé à en vivre, mais j’ai même pu m’installer dans un local plus grand et mieux situé, et finalement pousser ma passion à un niveau au-dessus : créer mon école de formation en cake design et partager mon expérience et expertise.
Ça fait maintenant plusieurs années que je forme les passionnées comme vous et moi à devenir des cake designers professionnelles, à éblouir leurs clients avec de magnifiques gâteaux ; que je les accompagne dans leur développement.
Mais comme pour moi-même il y quelques années, j’ai envie de plus et de mieux pour elles, pour vous.
C’est pour ça que j’ai créé Cake Business Academy, pour vous aider, vous les femmes talentueuses qui faites le bonheur de vos clients et la fierté de votre famille à vous lancer, mais surtout à avoir le succès que vous méritez pour pouvoir enfin en vivre et vous épanouir !
Karla, Cake Design Instructor & Mentor
Un guide de calcul spécial cake design, parce que nous faisons la différence entre un business et un hobby couteux.